Le chat blanc se leva doucement, il était encore tôt, pourtant, il savait bien que dehors, la chaleur était bel et bien présente. Le soleil avançait doucement vers le haut, donnant au ciel des couleurs chatoyantes. Ce spectacle était toujours beau a regarder. Le matin, le seul moment ou le matou pouvait enfin se détendre, loin de ses congénères qu’il trouvait, pour certain, idiots. Oui, c’était le mot. Pourquoi les chats n’utilisait il pas leur cerveau ? Irréfléchi, n’écoutant seulement leur instinct mais jamais leur tête, ces chats ne plaisait guère au guerrier. Mais, c’est vrai qu’il était peu sociable et de plus, arrogant. Mais en le voyant, comment le deviner ? Un chat grand, musclé et imposant, ce qui fait penser a un guerrier qui sait se faire respectés et s’entretien bien ; un pelage immaculée de blanc avec une unique tache marron clair qui forme comme un chausson, on image un beau chat au cœur pur et doux, et pour finir des yeux gris clair et une courte queue, ce qui fait penser a un chat encore pur de la couleur de ses yeux et un guerrier qui n’a pas un bon équilibre dans les arbres. Alors, qui peut deviner sous sa belle apparence et sous ses mots poli et beaux, se cache un chat arrogant et manipulateur ? Peu de chats.
Après avoir mangés une bonne souris dodu, il s’apprêtas a partir en patrouille de chasse avec quelques autres guerriers. Oui, au regard que lançais ses congénères, il savait déjà qu’ils cherchaient comment l’aborder pour lui demander de les accompagnaient. Alors que le matou immaculée de blanc allez les voir pour leur dire qu’il les accompagnait, son regard se posa sur son chef. Cette dernière sortait de sa tanière et discrètement, quitta le camp a pas de loup et disparu dans la lande. Que faisait elle ? La matinée commençait et elle partait seule … Griffe de Lumière ne supportait pas ne pas avoir de réponse a ses questions, alors il refusa de partir en patrouille de chasse et s’élanças lui aussi dans la Lande. La chatte crème avait disparu mais son odeur restait présente. Tant mieux … Le matou blanc était très douée pour pister et d’après lui, c’était le meilleurs. Alors il suivit son chef en suivant son odeur.
Après quelques minutes, il arriva a la prairie. Une belle prairie qui avait le don d’être apaisante et sûr, jamais aucun prédateur ou ennemi n’était venu ici. L’odeur s’amplifie et le matou blanc vit enfin son chef; coucher dans l’herbe fraîche. Ses yeux étaient posés sur le ciel et un long soupir s’échappas de sa bouche. Il marchas vers elle, ne cherchant le rien du monde a cacher le bruit qu’il faisait et juste derrière elle, il dit :
« Les couleurs chatoyantes du ciel ne peuvent qu’apparaître a une heure précise, ce qui donne très peu d’opportunité de les observer longtemps et calmement. »
Sans plus attendre, il s’allongeas au coté de sa chef en regardant également le ciel. Il ne savait ce qu’elle regardait, mais pour lui, c’était réellement magnifique.